de sommeil artificiel pour échapper   -  un peu  -   aux douleurs qui sont constantes depuis des années, et de veilles tout aussi artificielles, qui, cependant, ni l'un, ni l'autre, ne lui offrent le soulagement tant souhaité de ses souffrances : ainsi, allié au fait que les anti-douleurs ordinaires ne sont depuis longtemps plus tolérés par son corps, qui y réagit dangereusement, depuis ses agressions et leurs conséquences non soignées, ce cycle infernal a conduit Emmanuelle à se rabattre sur la cocaïne, qui elle, curieusement, est un anti-douleur puissant et un indéniable stimulant   -   ce que savent pertinemment tous les médecins, infirmiers et intervenants de santé, qui lui reprochent zélamment cette addiction, mais ne font strictement   RIEN  pour l'aider à en sortir.  

 

Or, cette dose excessive de médication, rajoutée à sa problématique première, l'empire et doit donc également être éliminée avant d'entreprendre le sevrage de la drogue illégale :  premièrement,  supprimer les médicaments qui lui ont été prescrits et administrés pendant des années  - les drogues « licites » -  et passer ensuite à la seconde étape que sont soit la cocaine (problématique d'Emmanuelle), soit l'héroïne ou autre drogue « dure ». 

 

La clinique que nous envisageons en préliminaire, et qui n'attend plus que le financement complémentaire à son assurance de base pour procéder à l'admission d'Emmanuelle, assurera justement cette première étape de sevrage : celui des drogues « licites » qui la préparera à affronter les difficultés qui l'attendent dans la seconde étape   - la plus dure -   du processus : le sevrage de la drogue « dure et illicite » qu'est la COCAINE.       

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Outre le sevrage des substances, cette structure médicalisée offre à Emmanuelle l'attention médicale dont elle a un urgent besoin après toutes ses agressions et leurs conséquences non-soignées.    

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Aujourd'hui, elle veut s'en sortir, mais il est clair que pour y parvenir, des soins médicaux appropriés et suffisants sont nécessaires pour remettre en état son corps malmené par les violences et les abus divers. Ainsi en est-il de toute personne fragilisée et qui, pour quelque raison que ce soit et selon sa propre histoire de vie, souffre de dépendance envers des substances médicamenteuses.

 

Ainsi, les soins spécifiques dont Emmanuelle a besoin, tant pour ses problèmes PHYSIQUES que PSYCHOLOGIQUES, lui sont indispensables pour mener à bien ce projet et lui garantir toutes ses chances de succès pour atteindre son but : décrocher entièrement et définitivement  de  TOUTE  DROGUE,  permise ou interdite.   

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C'est pourquoi, une somme suplémentaire encore indéfinie lui permettrait les soins annexes : médecines complémentaires, kinésiologie, etc., qui ont toujours fait merveille par le passé, et qui faciliteraient la voie vers le but final recherché. Des explications supplémentaires vous sont données ici, notamment sur les suites des agressions qu'a subies Emmanuelle   :    

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Si l'histoire d'Emmanuelle vous touche, et si vous désirez nous aider à sauver notre parente de la situation ignoble dans laquelle elle est entretenue purement artificiellement par des intérêts privés criminels ; et si vous désirez offrir à Emmanuelle un « petit bout de la route vers la Liberté », vous pouvez trouver toutes les coordonnées utilies pour se faire en cliquant ici (bouton). Vous pouvez également préciser le domaine dans lequel vous désirez que votre don soit utilisé, et votre désir sera scrupuleusement respecté.

 

Veuillez également consulter nos paragraphes sur l'engagement que nous prenons de rembourser eux qui en exprimeraient le désir, pour des dons suérieurs à 50.-- et SOUS RESERVE DES CONDITIONS ET DE LA REUSSITE DE NOTRE COMBAT LEGAL, QUE NOUS MENONS TRES ASSIDUMENT ACTUELLEMENT POUR RECOUVRER, AVEC SA LIBERTE ET SA DIGNITE, LA MAITRISE TOTALE DES FINANCES ET DES BIENS PERSONNELS D'EMMANUELLE TOMBES EN MAINS MALHONNETES DEPUIS 8 ANS, tandis que sa tutelle était tranférée à l'Etat.