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Association

« SAUVEZ EMMANUELLE ! »

(ASSOCIATION POUR EMMANUELLE ET CHRISTIAN

ET POUR LES PERSONNES FRAGILISEES) » 

AECPF

Poste Restante,  2345  MURIAUX 

sauvezemmanuelle.wix.com/sauvezemanuelle

sauvezemmanuelle@netcourrier.com

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LA   SITUATION   DES   PERSONNES   FRAGILISEES   A   GENEVE

BREF  RECAPITULATIF

2 ans 1/2 de combat

Après  un combat juridique inégal de  2 ans et demi 

contre les  fraudeurs de ma famille, des milieux de l'immobilier spéculateurs, des milieux administratifs et juridiques  (tribunaux, magistrats et études privées),

notre expropriation secrète,

fin janvier 2017, a abouti

par représentations cachées  

-  à notre insu  - 

A  GENEVE,  CHEZ CES  GENS-LA...! 

Car à Genève, on s'fout, on s'fout...   

A Genève, la mentalité de la caste dirigeante, le nombre et la qualité d'âmes des nantis qui s'amenuise à la vitesse  GRAND V,  phénomène irrépressible et préoccupant, voire effrayant d'aujourd'hui...  

Pour parvenir à l'interner de force la  1ère fois 

(manu militari par la police), 

​

les  prétendus  "tuteurs" 

ont  cessé  de lui verser sa subsistance pour la faire venir dans leurs locaux. 

 

Après 15 jours d'affamement,

 

elle s'y est rendue et a réclamé son dû.

 

Exténuée, elle s'est endormie sur un banc en attendant son  "tuteur",

qui lui a dit venir la rejoindre. 

 

C'est la police,

qui l'a réveillée  et l'a  embarquée

​

à la  clinique psychiatrique   

 

-   Dieu merci, nous n'avons pas de  Sibérie ! 

​

Elle n'a pas vu le tuteur,

et   n'a rien reçu d'autre

que  ses mensonges 

en pleine figure. 

Le lendemain, un simulacre d'audience a eu lieu, parce qu'il fallait confirmer le besoin impératif qu'avait cette personne sans droit d'être empêchée de faire des problèmes aux  "gentils fonctionnaires"  qui la spoliaient. 

Devant un juge honteux  -  à  juste titre  -   s'est tenue la plus lamentable scène qui puisse être, dans laquelle,  pour faire garantir  son internement, le monstrueux  "tuteur"  prétend  avoir trouvé à côté d'elle endormie  "un sac de seringues usagées"   qu'il s'est empressé de jeter à la poubelle   -  ÇA  A  MARCHÉ ! , c'était prévu, le juge complaisant n'y a vu que du feu, malgré qu'Emmanuelle a montré ses bras tout nets et  a demandé à l'infirmière assise à côté d'elle à l'audience de témoigner, puisqu'elle l'avait douchée la veille et avait vu qu'elle était nette.   -   Ce que l'infirmière n'a pas fait, évidemment, vous pensez bien :  ç'aurait fait de la peine au juge et au tuteur, et ç'aurait disculpé Emmanuelle !  prouvé qu'elle n'avait pas besoin d'être là. Alors, plus de raison d'aller bosser pour son bon salaire, l'infirmière  :  non non, elle n'y avait pas intérêt.  Et puis, en plus, "DISSIMULATION  DE  PREUVES",  le juge,  i'  connaît pas...! Ca allait  être dans le jugement :  qui a besoin de prouver que c'est vrai ?!?   

Le curateur et la loi, justice, fraude, obstruction à la justice

Alors il a vu tout de suite, le juge, 

qu'elle avait  très grand besoin

d'être internée...   

​

Et surtout que  ça faisait

plaisir au tuteur  :  entre copains, on s'entraide, c'est normal...  

 

Il le savait bien, le  bon  juge ;

 

alors pour protéger le tuteur

de la vilaine pupille qui voulait savoir 

ce qu'il faisait avec son argent,

il a immédiatement confirmé  le décret d'internement d'Emmanuelle  et a ajouté qu'elle devait y être  pour une durée  INDETERMINEE !... 

 

Ca laisse plus de temps 

pour faire ce qu'on veut... 

​

Logique, non?...       

Les cornes d'un tuteur...

Le  juge honteux  ensuite a demandé à Emmanuelle  ce qu'elle pensait de son curateur  -   à l'époque, il s'appelait encore  "tuteur", mais il n'en a jamais vraiment été un   -   pas du tout, en fait, bien au contraire  :  à part pour l'empêcher de sortir de la drogue, il ne s'est jamais soucié à son sujet que de  SON  ARGENT   -  qu'il trouve toujours mieux dépensé ailleurs que sur sa pomme !...   

​

"Comment voyez-vous votre tuteur, Mademoiselle ?"  a demandé le juge.   Eh bien Emmanuelle a répondu spontanément, sans aucune hésitation : 

"Comme un  diable !"   

Bon. Un diable, ça a des cornes, que je sache  : 

J'ignore combien de paires elle lui voyait, mais

vu comme il se comporte, 

il  doit bien avoir le recours de plusieurs...  

Le pauvre juge a oublié sa honte un instant, et a tenté de réprimer avec peine un rire sans feinte, mais qu'il trouvait probablement inconvenant...    

 

Alors  puisque c'est comme ça  qu'Emmanuelle le voit   -   et je dois dire qu'en ce qui me concerne, c'est pareil, et tous ceux que je connais qui le connaissent aussi, c'est pareil, alors je l'appellerai  "le cornu".  Je ne savais pas comment l'appeler, pour simplifier, alors pourquoi pas un terme qui lui va comme un gant... ?       

Entre-temps, il y a eu le départ du  4 Asters,  en  Août  2017

Et maintenant  ?? 

Nous sommes à Genève, en 2017.  

FIN  NOVEMBRE, plus précisément !   

​

Suite à la mise à la rue d'Emmanuelle de sa minuscule chambre en co-location à la rue Rodo, sur les mensonges éhontés  et le harcèlement  d'un co-locataire qui n'hésitait pas à casser les lieux des communs pour l'en accuser, Emmanuelle  est  donc finalement  à la rue  (SANS  SES  AFFAIRES  (neuves),  SEQUESTREES  par le gérant)  en plein mois de novembre  arrivant décembre, comme  l'intentionnait le cornu et tous ses gentils collègues  qui mériteraient bien de porter le même nom que lui...   (la plus grande partie de ses affaires, neuves et usagées, lui avait déjà été volée en août, sous la prétention de ne rien valoir et d'avoir été  "jetées à la poubelle" !   

​

Quoi qu'il en soit, elle ne parvient plus à les récupérer  :  "Cherche toujours, tu nous intéresses...!"   

​

Emmanuelle a d'abord passé un petit mois  "chez  quelqu'un",  qui l'a hébergée juste le temps d'attendre les grosses froidures  en lui volant tout ce qu'il pouvait, puis vendredi soir dernier (24 novembre), il l'a mise à la porte en la frappant tant qu'il pouvait.  

​

Ca se gargarise de beaux titres ; ça se prétend  "protecteurs"  avec  un grand  "P" !  Quant à moi et tous ceux qui en goûtent dans la dure réalité, sous ce  "P", nous ne connaissons que des  PERSECUTEURS !   

​

Voyant donc que l'histoire se répétait  comme aux  Asters,  ce à quoi je m'attendais, j'ai averti immédiatement son médecin, afin qu'il sache au moins dans quelle situation est sa patiente  :  il  m'a généreusement assurée de son soutien !!  Ca, c'est chic.  Maintenant, j'attends de voir ce qu'il va être...   

​

Voici la retranscription de nos messages et de ses touchants encouragements   :   

​

​

​

MISSION  ACCOMPLIE  POUR LES MALFRATS ! 

Le malfaiteur  Le cornu  est arrivé  à ses fins  : 

Après un court intermède qu'il ne pouvait pas contourner,

à grand renfort de persécution d'Emmanuelle et de mensonges d'un  co-habitant 

qui la harcelait, lui faisait du mobbing  et  ment à son sujet, etc. etc.,
depuis qu'elle est arrivée là-bas  -  rebelotte du 4 Asters : le fait
qu'il lui volait ses repas est un insignifiant détail à côté du reste
-   le malfrat  Le cornu, avec l'aide de ses acolytes, a réussi
à faire renvoyer Emmanuellle de la misérable chambre qu'il daignait
lui concéder pour s'abriter pendant l'hiver.

Vous le saviez déjà, mais aux dernières nouvelles pour vous, elle
était  "chez  quelqu'un" , une solution pour le cornu  -  pas de frais,
ou plutôt, c'est Emmanuelle qui paie  -  et  pour elle, la galère qui
s'aggrave et atteint enfin le but brigué par le malfrat  -  le rêve
pour le cornu !  LA  RUE  POUR  EMMMANUELLE  JONES.


C'est donc chose faite. La stratégie est efficace  : le cornu  économise
(visée 1), et Emmanuelle est donc maintenant et depuis hier soir  A LA
RUE  littéralement (visée 2), comme le désirait le  SpAd, qui, en prime, peut faire
main basse sur le peu d'affaires personnelles qu'elle avait réussi à
sauver du  4 Asters, notamment celles (neuves) qu'elle conservait avec
soin malgré les difficultés rencontrées, pour son utopique appartement
 auquel elle croit toujours, figurez-vous, comble de naïveté de la
part de cette personne sans malice, malgré l'épouvantable réputation
que s'accordent à lui faire tous ces   "malfrats-gens biens...".


Heureusement que le  karma  n'est pas un vain mot !


Je ne suis pas sûre que vous recevrez ce message, mais je me devais
d'essayer, afin de vous avertir  immédiatement de la situation  réelle
de votre patiente.

Avec mes salutations,  
Evelyne, M. Jones  (-E.)    

​

********* 

​

Je n'en croyais pas mes yeux quand j'ai lu sa réponse, tellement elle déborde de consolante sollicitude 

et de chauds encouragements :   

 

" Chère Madame,
J'ai bien reçu votre message. Les services de l'Etat ont la responsabilité de trouver une solution.
Avec mon message de soutien.
Dr P "

 

Quelles perspectives !  Et moi qui me croyais si seule, dans ce combat...!...    

​

"Les services de l'Etat"  -  il fallait y penser !...   

​

Alors, je  lui ai répondu   (Mesdames, Messieurs, je vous en souhaite bonne lecture,  et puissiez-vous incliner une oreille sage et attentive à ces avertissements)   :     

​

​

Les  "services de l'Etat"  en matière de tutelles sont des personnes  PRIVEES  

-  le Tuteur Général n'existe plus   -   

des  privés  qui, 

en plus d'encaisser un très confortable salaire,

thésaurisent sur les rentes des pauvres et des malades

pour  fabriquer artificiellement  des
fortunes qui sont inaccessibles à leurs propriétaires,

mais qui permettent ainsi aux exploitants de toucher,

en sus de leur salaire,
de copieux pourcentages sur ces fortunes qu'ils gèrent malhonnêtement. 


C'est là le seul but vers lequel ils tendent, et les   "solutions"
qu'ils y trouvent  SANS  DIFFICULTE  ni vergogne  pour l'atteindre,
l'histoire de ma fille vous les raconte...

Je vous remercie de votre message de soutien. 

Je me réjouis de le voir en action

pour sauver Emmanuelle  des exactions multiples
auxquelles ces malfrats la soumettent

avec le concours et la bénédiction,

jusqu'ici, de tous ceux qui, autour d'elle, ont leur mot à dire

plus encore qu'elle-même quant au sort qu'ils lui réservent. 

 

A commencer par la sortir de ce canton  : 

elle dit ne pas vouloir le faire sans vous. 

Extrêmement vulnérable, comme vous le savez, elle se
prête maintenant aux pires expériences de traficotages chimiques
dignes d'un médecin qui a connu sa gloire  voici  7  décennies. 

Il a essaimé, et son aura baigne maintenant comme jamais nos milieux médicaux,

qui sans vouloir l'avouer suivent néanmoins fidèlement ses pas ;

mais leurs actes brisent le silence que leurs lèvres cultivent. 


L'homme est mort, Dieu merci, mais son esprit a conquis nos
contemporains : ses émules sont nombreux, actifs  et  puissants.


Emmanuelle est le cobaye tout trouvé pour  cette  médecine  ASSASSINE
qui sert les propos malhonnêtes  et se gave du sang des pauvres

à la même table  que leurs geôliers  dans un  CONSENSUS 

d'exploitation que la population  bien-née  et  bien-pensante     

approuve,

parce que du haut en bas de l'échelle, tous ceux qui n'en sont pas

directement touchés  en retirent du profit. 

Ce que veulent les malfrats, ce n'est pas forcément tuer  :

plutôt que de devoir payer pour des obsèques 

- la facture peut attendre -   

il est plus profitable de la rendre légume, et
de continuer de faire tinter les tiroirs-caisses   

aussi longtemps que faire se peut...

Celui qui prendra position et agira vraiment pour la Justice, 

en actes et non en paroles creuses,

risquera certes  son luxe et son confort,
mais y gagnera de nettoyer son âme  et  tout son être  de la souillure
qu'une acceptation du status quo, même tacite, entraîne,

avec le karma qui y est lié.


Dans notre famille, nous vivons maintenant le paiement de cette dette,
et nous mangeons notre pain noir,

mais lorsque la roue du temps aura tourné,

nous laisserons derrière nous des canaux de vie et de vécu,
des énergies qui ne s'éteindront jamais,

et dans lesquels s'engouffreront tous ceux qui aujourd'hui mangent leur pain blanc

et détournent l'oreille et le regard du cri du pauvre ;

tous ceux aussi  qui nous font souffrir 

et participent à l'abject de la situation d'Emmanuelle,

de sa famille et de tous les pauvres gens fragilisés

et honteusement exploités de notre Société.


...Même ceux qui préfèrent ne pas y croire et me prendre ici et
maintenant pour une illuminée y prendront part,  

alors et là-bas, 

qu'ils le veuillent ou non...  

Leur croyance ne saura rien y changer !...  


On n'aime pas croire à l'Invisible :

ceux qui se prennent pour plus intelligents nient même qu'il existe,

et qu'il soit tel que les «pauvres fous » le décrivent.   

​

Tenez, vous n'avez jamais vu le fond des mers : 
et pourtant, il existe, avec toutes les bêtes monstrueuses qui le
peuplent ; de même nos âmes sont habitées de bêtes monstrueuses 

qui oeuvrent en nous contre la Justice pour tous,

surtout en faisant la sourde oreille

et en prétendant que le Mal autour de nous

n'est ni leur problème ni leur responsabilité...


Alors rendez-vous au dernier jour du voyage individuel. 

Quand l'enveloppe meurt, l'être survit : 

un être plus grand, plus large que
celui reconnu par l'individualité  -  et pour cause  : 

il englobe des millions d'êtres,

nos rôles antérieurs ou même futurs, 

s'il nous faut encore beaucoup de vies pour comprendre... 

Oui, tôt ou tard,  l'être intérieur  reviendra dans la matière sous un autre nom,

une autre « identité » individuelle, 

un autre visage (apparent), une autre situation sociale,

d'autres «talents », d'autres handicaps, une autre « VIE »,

et ce sera,

pour l'élévation de toutes les âmes et de chacun,

(Dieu y veillera),

dans des circonstances et des conditions qui leur seront  difficiles, mais  utiles

pour comprendre que ce que vivent aujourd'hui,

dans leur âme et dans leur  chair,

Emmanuelle et tous les pauvres gens

comme elle abusés et scandaleusement traités...   

 

L'Être intérieur  peut  obtenir le repos  lorsqu'il  comprend  que  tout ce que vivent les pauvres gens,

les fragilisés, les exploités,

EST MAL, est MONSTRUEUX, et est l'affaire de tous   

-  SURTOUT DE CEUX QUI DANS LEUR CONFORT EN  VIVENT   

DIRECTEMENT OU INDIRECTEMENT, de près ou de loin  -  

​

Alors,  REFLECHISSEZ  SUR  VOS  PRIVILEGES...

​

L'Être  intérieur  est prêt  lorsqu'il accepte d'y mettre fin quelle que soit la pauvreté des moyens ;  

lorsqu'il comprend qu'il ne veut plus collaborer  

-   même  les  yeux  fermés   -  

parce que la population fragilisée de notre Société est précisément, plus que toute autre,

celle qui fait vivre les prétentieux  qui se targuent d'être bien mieux qu'eux 

parce qu' « ils travaillent, eux !... » 

et ne sont pas des « profiteurs »...

Ah bon !??... 
Vraiment ??????????  

​

Que chacun y regarde de près,

et nous en reparlerons

dans une optique plus juste, et non selon les apparences.

A chacun d'y faire sa réflexion.

De mon côté, j'ai fait mon devoir,

ou du moins, je m'y attelle...


Mon but n'est pas d'être honorée, mais d'être propre et nette de la
responsabilité encourue par les nantis qui détournent le regard, pour
n'avoir pas averti ces ignorants des conséquences qui les attendent
quant aux actes qu'ils posent (ou ne posent pas) aujourd'hui   

à l'encontre de toute élémentaire
Justice !...
- «RIEN» est aussi « QUELQUECHOSE » -   


Dans l'attente de vos propositions concrètes, je vous prie d'agréer,
Monsieur, mes salutations distinguées.

MM.- Evelyne M. Jones (-E.) 

*********  

​

​

Ainsi se termine   -   sans avoir eu l'heur  de susciter une réponse   -   la lettre d'une femme, mère,  à un médecin, au sujet de sa patiente malade  jetée à la rue  en pleins mois d'hiver...  !   

Blessure d'Emmanuelle, violences, agressions,
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