SAUVEZ EMMANUELLE !
Association pour les Personnes Fragilisées.
SANTE ET JUSTICE POUR TOUS - LA CONFIANCE SE MERITE...
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Poste Restante, 2345 MURIAUX
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LA SITUATION DES PERSONNES FRAGILISEES A GENEVE
BREF RECAPITULATIF
A GENEVE, CHEZ CES GENS-LA...!
Car à Genève, on s'fout, on s'fout...
A Genève, la mentalité de la caste dirigeante, le nombre et la qualité d'âmes des nantis qui s'amenuise à la vitesse GRAND V, phénomène irrépressible et préoccupant, voire effrayant d'aujourd'hui...
Pour parvenir à l'interner de force la 1ère fois
(manu militari par la police),
​
les prétendus "tuteurs"
ont cessé de lui verser sa subsistance pour la faire venir dans leurs locaux.
Après 15 jours d'affamement,
elle s'y est rendue et a réclamé son dû.
Exténuée, elle s'est endormie sur un banc en attendant son "tuteur",
qui lui a dit venir la rejoindre.
C'est la police,
qui l'a réveillée et l'a embarquée
​
à la clinique psychiatrique
- Dieu merci, nous n'avons pas de Sibérie !
​
Elle n'a pas vu le tuteur,
et n'a rien reçu d'autre
que ses mensonges
en pleine figure.
Le lendemain, un simulacre d'audience a eu lieu, parce qu'il fallait confirmer le besoin impératif qu'avait cette personne sans droit d'être empêchée de faire des problèmes aux "gentils fonctionnaires" qui la spoliaient.
Devant un juge honteux - à juste titre - s'est tenue la plus lamentable scène qui puisse être, dans laquelle, pour faire garantir son internement, le monstrueux "tuteur" prétend avoir trouvé à côté d'elle endormie "un sac de seringues usagées" qu'il s'est empressé de jeter à la poubelle - ÇA A MARCHÉ ! , c'était prévu, le juge complaisant n'y a vu que du feu, malgré qu'Emmanuelle a montré ses bras tout nets et a demandé à l'infirmière assise à côté d'elle à l'audience de témoigner, puisqu'elle l'avait douchée la veille et avait vu qu'elle était nette. - Ce que l'infirmière n'a pas fait, évidemment, vous pensez bien : ç'aurait fait de la peine au juge et au tuteur, et ç'aurait disculpé Emmanuelle ! prouvé qu'elle n'avait pas besoin d'être là. Alors, plus de raison d'aller bosser pour son bon salaire, l'infirmière : non non, elle n'y avait pas intérêt. Et puis, en plus, "DISSIMULATION DE PREUVES", le juge, i' connaît pas...! Ca allait être dans le jugement : qui a besoin de prouver que c'est vrai ?!?
Alors il a vu tout de suite, le juge,
qu'elle avait très grand besoin
d'être internée...
​
Et surtout que ça faisait
plaisir au tuteur : entre copains, on s'entraide, c'est normal...
Il le savait bien, le bon juge ;
alors pour protéger le tuteur
de la vilaine pupille qui voulait savoir
ce qu'il faisait avec son argent,
il a immédiatement confirmé le décret d'internement d'Emmanuelle et a ajouté qu'elle devait y être pour une durée INDETERMINEE !...
Ca laisse plus de temps
pour faire ce qu'on veut...
​
Logique, non?...
Le juge honteux ensuite a demandé à Emmanuelle ce qu'elle pensait de son curateur - à l'époque, il s'appelait encore "tuteur", mais il n'en a jamais vraiment été un - pas du tout, en fait, bien au contraire : à part pour l'empêcher de sortir de la drogue, il ne s'est jamais soucié à son sujet que de SON ARGENT - qu'il trouve toujours mieux dépensé ailleurs que sur sa pomme !...
​
"Comment voyez-vous votre tuteur, Mademoiselle ?" a demandé le juge. Eh bien Emmanuelle a répondu spontanément, sans aucune hésitation :
"Comme un diable !"
Bon. Un diable, ça a des cornes, que je sache :
J'ignore combien de paires elle lui voyait, mais
vu comme il se comporte,
il doit bien avoir le recours de plusieurs...
Le pauvre juge a oublié sa honte un instant, et a tenté de réprimer avec peine un rire sans feinte, mais qu'il trouvait probablement inconvenant...
Alors puisque c'est comme ça qu'Emmanuelle le voit - et je dois dire qu'en ce qui me concerne, c'est pareil, et tous ceux que je connais qui le connaissent aussi, c'est pareil, alors je l'appellerai "le cornu". Je ne savais pas comment l'appeler, pour simplifier, alors pourquoi pas un terme qui lui va comme un gant... ?
Entre-temps, il y a eu le départ du 4 Asters, en Août 2017
Et maintenant ??
Nous sommes à Genève, en 2017.
FIN NOVEMBRE, plus précisément !
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Suite à la mise à la rue d'Emmanuelle de sa minuscule chambre en co-location à la rue Rodo, sur les mensonges éhontés et le harcèlement d'un co-locataire qui n'hésitait pas à casser les lieux des communs pour l'en accuser, Emmanuelle est donc finalement à la rue (SANS SES AFFAIRES (neuves), SEQUESTREES par le gérant) en plein mois de novembre arrivant décembre, comme l'intentionnait le cornu et tous ses gentils collègues qui mériteraient bien de porter le même nom que lui... (la plus grande partie de ses affaires, neuves et usagées, lui avait déjà été volée en août, sous la prétention de ne rien valoir et d'avoir été "jetées à la poubelle" !
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Quoi qu'il en soit, elle ne parvient plus à les récupérer : "Cherche toujours, tu nous intéresses...!"
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Emmanuelle a d'abord passé un petit mois "chez quelqu'un", qui l'a hébergée juste le temps d'attendre les grosses froidures en lui volant tout ce qu'il pouvait, puis vendredi soir dernier (24 novembre), il l'a mise à la porte en la frappant tant qu'il pouvait.
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Ca se gargarise de beaux titres ; ça se prétend "protecteurs" avec un grand "P" ! Quant à moi et tous ceux qui en goûtent dans la dure réalité, sous ce "P", nous ne connaissons que des PERSECUTEURS !
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Voyant donc que l'histoire se répétait comme aux Asters, ce à quoi je m'attendais, j'ai averti immédiatement son médecin, afin qu'il sache au moins dans quelle situation est sa patiente : il m'a généreusement assurée de son soutien !! Ca, c'est chic. Maintenant, j'attends de voir ce qu'il va être...
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Voici la retranscription de nos messages et de ses touchants encouragements :
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MISSION ACCOMPLIE POUR LES MALFRATS !
Le malfaiteur Le cornu est arrivé à ses fins :
Après un court intermède qu'il ne pouvait pas contourner,
à grand renfort de persécution d'Emmanuelle et de mensonges d'un co-habitant
qui la harcelait, lui faisait du mobbing et ment à son sujet, etc. etc.,
depuis qu'elle est arrivée là-bas - rebelotte du 4 Asters : le fait
qu'il lui volait ses repas est un insignifiant détail à côté du reste
- le malfrat Le cornu, avec l'aide de ses acolytes, a réussi
à faire renvoyer Emmanuellle de la misérable chambre qu'il daignait
lui concéder pour s'abriter pendant l'hiver.
Vous le saviez déjà, mais aux dernières nouvelles pour vous, elle
était "chez quelqu'un" , une solution pour le cornu - pas de frais,
ou plutôt, c'est Emmanuelle qui paie - et pour elle, la galère qui
s'aggrave et atteint enfin le but brigué par le malfrat - le rêve
pour le cornu ! LA RUE POUR EMMMANUELLE JONES.
C'est donc chose faite. La stratégie est efficace : le cornu économise
(visée 1), et Emmanuelle est donc maintenant et depuis hier soir A LA
RUE littéralement (visée 2), comme le désirait le SpAd, qui, en prime, peut faire
main basse sur le peu d'affaires personnelles qu'elle avait réussi à
sauver du 4 Asters, notamment celles (neuves) qu'elle conservait avec
soin malgré les difficultés rencontrées, pour son utopique appartement
auquel elle croit toujours, figurez-vous, comble de naïveté de la
part de cette personne sans malice, malgré l'épouvantable réputation
que s'accordent à lui faire tous ces "malfrats-gens biens...".
Heureusement que le karma n'est pas un vain mot !
Je ne suis pas sûre que vous recevrez ce message, mais je me devais
d'essayer, afin de vous avertir immédiatement de la situation réelle
de votre patiente.
Avec mes salutations,
Evelyne, M. Jones (-E.)
​
*********
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Je n'en croyais pas mes yeux quand j'ai lu sa réponse, tellement elle déborde de consolante sollicitude
et de chauds encouragements :
" Chère Madame,
J'ai bien reçu votre message. Les services de l'Etat ont la responsabilité de trouver une solution.
Avec mon message de soutien.
Dr P "
Quelles perspectives ! Et moi qui me croyais si seule, dans ce combat...!...
​
"Les services de l'Etat" - il fallait y penser !...
​
Alors, je lui ai répondu (Mesdames, Messieurs, je vous en souhaite bonne lecture, et puissiez-vous incliner une oreille sage et attentive à ces avertissements) :
​
​
Les "services de l'Etat" en matière de tutelles sont des personnes PRIVEES
- le Tuteur Général n'existe plus -
des privés qui,
en plus d'encaisser un très confortable salaire,
thésaurisent sur les rentes des pauvres et des malades
pour fabriquer artificiellement des
fortunes qui sont inaccessibles à leurs propriétaires,
mais qui permettent ainsi aux exploitants de toucher,
en sus de leur salaire,
de copieux pourcentages sur ces fortunes qu'ils gèrent malhonnêtement.
C'est là le seul but vers lequel ils tendent, et les "solutions"
qu'ils y trouvent SANS DIFFICULTE ni vergogne pour l'atteindre,
l'histoire de ma fille vous les raconte...
Je vous remercie de votre message de soutien.
Je me réjouis de le voir en action
pour sauver Emmanuelle des exactions multiples
auxquelles ces malfrats la soumettent
avec le concours et la bénédiction,
jusqu'ici, de tous ceux qui, autour d'elle, ont leur mot à dire
plus encore qu'elle-même quant au sort qu'ils lui réservent.
A commencer par la sortir de ce canton :
elle dit ne pas vouloir le faire sans vous.
Extrêmement vulnérable, comme vous le savez, elle se
prête maintenant aux pires expériences de traficotages chimiques
dignes d'un médecin qui a connu sa gloire voici 7 décennies.
Il a essaimé, et son aura baigne maintenant comme jamais nos milieux médicaux,
qui sans vouloir l'avouer suivent néanmoins fidèlement ses pas ;
mais leurs actes brisent le silence que leurs lèvres cultivent.
L'homme est mort, Dieu merci, mais son esprit a conquis nos
contemporains : ses émules sont nombreux, actifs et puissants.
Emmanuelle est le cobaye tout trouvé pour cette médecine ASSASSINE
qui sert les propos malhonnêtes et se gave du sang des pauvres
à la même table que leurs geôliers dans un CONSENSUS
d'exploitation que la population bien-née et bien-pensante
approuve,
parce que du haut en bas de l'échelle, tous ceux qui n'en sont pas
directement touchés en retirent du profit.
Ce que veulent les malfrats, ce n'est pas forcément tuer :
plutôt que de devoir payer pour des obsèques
- la facture peut attendre -
il est plus profitable de la rendre légume, et
de continuer de faire tinter les tiroirs-caisses
aussi longtemps que faire se peut...
Celui qui prendra position et agira vraiment pour la Justice,
en actes et non en paroles creuses,
risquera certes son luxe et son confort,
mais y gagnera de nettoyer son âme et tout son être de la souillure
qu'une acceptation du status quo, même tacite, entraîne,
avec le karma qui y est lié.
Dans notre famille, nous vivons maintenant le paiement de cette dette,
et nous mangeons notre pain noir,
mais lorsque la roue du temps aura tourné,
nous laisserons derrière nous des canaux de vie et de vécu,
des énergies qui ne s'éteindront jamais,
et dans lesquels s'engouffreront tous ceux qui aujourd'hui mangent leur pain blanc
et détournent l'oreille et le regard du cri du pauvre ;
tous ceux aussi qui nous font souffrir
et participent à l'abject de la situation d'Emmanuelle,
de sa famille et de tous les pauvres gens fragilisés
et honteusement exploités de notre Société.
...Même ceux qui préfèrent ne pas y croire et me prendre ici et
maintenant pour une illuminée y prendront part,
alors et là-bas,
qu'ils le veuillent ou non...
Leur croyance ne saura rien y changer !...
On n'aime pas croire à l'Invisible :
ceux qui se prennent pour plus intelligents nient même qu'il existe,
et qu'il soit tel que les «pauvres fous » le décrivent.
​
Tenez, vous n'avez jamais vu le fond des mers :
et pourtant, il existe, avec toutes les bêtes monstrueuses qui le
peuplent ; de même nos âmes sont habitées de bêtes monstrueuses
qui oeuvrent en nous contre la Justice pour tous,
surtout en faisant la sourde oreille
et en prétendant que le Mal autour de nous
n'est ni leur problème ni leur responsabilité...
Alors rendez-vous au dernier jour du voyage individuel.
Quand l'enveloppe meurt, l'être survit :
un être plus grand, plus large que
celui reconnu par l'individualité - et pour cause :
il englobe des millions d'êtres,
nos rôles antérieurs ou même futurs,
s'il nous faut encore beaucoup de vies pour comprendre...
Oui, tôt ou tard, l'être intérieur reviendra dans la matière sous un autre nom,
une autre « identité » individuelle,
un autre visage (apparent), une autre situation sociale,
d'autres «talents », d'autres handicaps, une autre « VIE »,
et ce sera,
pour l'élévation de toutes les âmes et de chacun,
(Dieu y veillera),
dans des circonstances et des conditions qui leur seront difficiles, mais utiles
pour comprendre que ce que vivent aujourd'hui,
dans leur âme et dans leur chair,
Emmanuelle et tous les pauvres gens
comme elle abusés et scandaleusement traités...
L'Être intérieur peut obtenir le repos lorsqu'il comprend que tout ce que vivent les pauvres gens,
les fragilisés, les exploités,
EST MAL, est MONSTRUEUX, et est l'affaire de tous
- SURTOUT DE CEUX QUI DANS LEUR CONFORT EN VIVENT
DIRECTEMENT OU INDIRECTEMENT, de près ou de loin -
​
Alors, REFLECHISSEZ SUR VOS PRIVILEGES...
​
L'Être intérieur est prêt lorsqu'il accepte d'y mettre fin quelle que soit la pauvreté des moyens ;
lorsqu'il comprend qu'il ne veut plus collaborer
- même les yeux fermés -
parce que la population fragilisée de notre Société est précisément, plus que toute autre,
celle qui fait vivre les prétentieux qui se targuent d'être bien mieux qu'eux
parce qu' « ils travaillent, eux !... »
et ne sont pas des « profiteurs »...
Ah bon !??...
Vraiment ??????????
​
Que chacun y regarde de près,
et nous en reparlerons
dans une optique plus juste, et non selon les apparences.
A chacun d'y faire sa réflexion.
De mon côté, j'ai fait mon devoir,
ou du moins, je m'y attelle...
Mon but n'est pas d'être honorée, mais d'être propre et nette de la
responsabilité encourue par les nantis qui détournent le regard, pour
n'avoir pas averti ces ignorants des conséquences qui les attendent
quant aux actes qu'ils posent (ou ne posent pas) aujourd'hui
à l'encontre de toute élémentaire
Justice !...
- «RIEN» est aussi « QUELQUECHOSE » -
Dans l'attente de vos propositions concrètes, je vous prie d'agréer,
Monsieur, mes salutations distinguées.
MM.- Evelyne M. Jones (-E.)
*********
​
​
Ainsi se termine - sans avoir eu l'heur de susciter une réponse - la lettre d'une femme, mère, à un médecin, au sujet de sa patiente malade jetée à la rue en pleins mois d'hiver... !